Elle a rappelé que celle-ci trouvait son origine dans une stratégie économique où l’humain n’a plus sa place au détriment d’une logique financière.
Elle a fait part que les négociations en cours à La Poste, consécutives à la mise à jour de la crise sociale ne lui paraissait pas de nature à répondre aux attentes des postiers en matière d’emplois, de salaires, de conditions de vie et de travail, de service public.
La CGT a rappelé avec insistance l’importance de La Poste auprès des populations en
tant que service public. Elle a insisté pour que celui-ci soit garanti et élargi.