Alors que La Poste est engagée dans une opération immobilière qui pourrait, au prix de l’immobilier, assurer le salaire des 700 postiers travaillant à Paris Louvre pour les 50 années à venir, elle s’obstine à s’en prendre à nos droits (emplois, repos, conditions de travail ). La CGT s’oppose à la vente, totale ou partielle, de cet immeuble.
En conséquence, le préavis exige :
– L’arrêt de toutes les suppressions d’emplois, maintien de tous les emplois existants.
– Aucune remise en cause de nos repos, maintien du cycle de trois jours de repos dans le cycle de quatre semaines
– Embauche en CDI des intérimaires et apprentis
– L’arrêt de la fermeture du STM