En effet, malgré la répression accrue visant essentiellement les militants-es, et le peu de moyens mis en place par les pouvoirs publics pour sécuriser les manifestations, multiples et différentes initiatives ont été organisées pour célébrer cette journée dédiée aux droits des travailleur-ses du monde entier.
Assurément, ce mois de mai sera un mois de luttes pour protester contre les régressions sociales, pour porter haut et fort nos revendications légitimes et essentielles pour que le progrès social devienne réalité et améliore le quotidien de chacune et chacun.
Journée de luttes symbolique, ce 1er mai prouve à nouveau la détermination de la jeunesse, des salarié-es et privé-es d’emploi, des retraité-es, à agir ensemble contre les politiques d’austérité imposées, à donner de la voix, unis et solidaires, pour obtenir d’autres choix politiques, être actrices et acteurs de nos conditions et de notre devenir.
Montreuil, le 1er mai 2016